“Plusieurs chemins mènent à Dieu, j’ai choisi celui de la danse et de la musique.”
Djalal ad-Dîn Rûmi
Danse soufi - Jaran 1/3
Source vidéo : http://www.dailymotion.com/video/x621w2_danse-soufi-jaran-1-3_creation
Les chemins de la sagesse
"Qu'importe que nous empruntions des itinéraires différents
pourvu que nous arrivions au même but." Gandhi
“Plusieurs chemins mènent à Dieu, j’ai choisi celui de la danse et de la musique.”
Djalal ad-Dîn Rûmi
Danse soufi - Jaran 1/3
Source vidéo : http://www.dailymotion.com/video/x621w2_danse-soufi-jaran-1-3_creation
Source vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=5SWOa4NjtaU
Texte et vidéo de Camille Tassel pour "Le Monde des Religions".
"Le Festival des musiques sacrées du monde de Fès est le lieu de toutes les rencontres spirituelles. Des poésies soufies littéralement soufflées par l'Iranien Sharham Nazeri à la transe envoûtante des tambours du Burundi, sa 16e édition invite, profanes et amateurs, à un véritable "voyage initiatique".
Une odyssée au choeur des religions, qui se dévoilent au-delà de leur confession par leur indicible mélodie. Car dans ce divin melting pot, la viole de gambe du catalan Jordi Savall et le kamanja du fassi Stati, le Johnny Hallyday local, sont des violons dont les cordes vibrent à l'unisson. L'occasion pour le Monde des Religions de faire résonner quelques notes sacrées, du Gospel solaire des Blind Boys of Alabama aux khamra des Nuits Soufies de la médina."
Source vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=rdSJwXF-WKE&feature=player_embedded#at=124
Source texte : http://www.le-monde-des-religions.fr/articles/festival-fes.html
L'art peut-être un véhicule d'expression du divin, il peut-être exprimer les émotions humaines les plus pures comme les plus sombres. Mais il est surtout un magnifique moyen de se faire rencontrer les cultures et de toucher directement l'âme de chacun.
Texte et vidéo de Camille Tassel pour "Le Monde des Religions".
"Quand une sitar s’électrise, quand les tablas fusionnent, la danse kathak en perd son équilibre. Née de la rencontre inattendue entre le maestro du tabla Vijay Ghate, le zitariste Niladri Kumar et le tablaïste et DJ londonien Talvin Singh, "Sizero Tabla Experience" ne cherche pas à faire du neuf, mais pousse la création à l'infini. Dès les années 60, le rock et le jazz avaient déjà puisé dans la multiplicité des rythmes indiens. Aujourd’hui l’Asian Underground creuse les sonorités encore inexplorées des traditions hindoustanis (du nord) et carnatiques (du sud) excavées par les beats électro.
Fusion (d)étonnante, à l'image de l'Inde contemporaine, où les chants sacrés se fondent à l’unisson avec cette quête infinie et indicible du sonore, vers le divin."
Source vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=fbnRDMJL144&feature=player_embedded#!
Source texte : http://www.le-monde-des-religions.fr/articles/sizero.html
Voici un lien vers une émission de france Musique où il est question de la Musique de Ravi Sahankar avec de nombreux morceaux du célèbre cithariste à découvrir.
http://sites.radiofrance.fr/francemusique/ev/fiche.php?eve_id=265000192
Source : http://sites.radiofrance.fr/francemusique/ev/fiche.php?eve_id=265000192
Pour en savoir plus sur sa vie et son oeuvre voici une succinte biographie ainsi qu'une discographie de celui-ci.
"Celui que Yehudi Menuhin comparait à Mozart et que George Harrison qualifiait de parrain de la World Music est né en 1920 à Varanasi près de Bénarès.
Dans les années 30, il démarre sa carrière au sein de la troupe de musiques et danses traditionnelles de son frère Uday qui est bientôt rejoint par le grand multi-instrumentiste Allauddin Khan. A partir de 1938, Ravi suit son enseignement pendant 6 ans puis devient concertiste de sitar et aussi compositeur.
Durant sa carrière, il écrira de nombreuses musiques pour ballets ou films et une trentaine de ragas, mais aussi des œuvres transculturelles, comme un concerto pour sitar et orchestre pour le London Symphonic Orchestra (1970), une pièce pour 400 musiciens indiens et soviétiques au Palais des cultures du Kremlin en 1988 ou encore en travaillant avec le compositeur américain Philip Glass en 1990.
Il a fasciné de nombreux artistes occidentaux comme John Coltrane qui en hommage appela son fils Ravi. Dans les années 60, en croisant le chemin des Beatles, sa renommée devient universelle. En plein flower power, Ravi Shankar participe aux festivals de Monterey, de Woodstock et au concert pour le Bengla Desh organisé par George Harrison.
Aujourd’hui, il donne de nombreux concerts en compagnie de sa fille Anoushka qui après avoir été son élève est devenue son assistante."
Source : http://www.tv5.org/TV5Site/musique/artiste-672-ravi_shankar.ht
DISCOGRAPHIE
http://www.linternaute.com/biographie/ravi-shankar/discographie/
Source : http://vimeo.com/6518109
Source : http://www.hommesdeparole.org [Phrase de la semaine]